Elle
est constituée d'un long tube de cuivre réplié sur
lui-même. Le corps étroit et l'embouchure creuse produisent
une sont typique, éclatant et pénétrant.
Chaque pistons possèdent
des trous qui dévient l'air en vibration dans des tubes complémentaire,
ce qui allonge la colonne d'air en vibration et abaisse ainsi la hauteur
de la note. La combinaison des 3 pistons, que comprend ces intruments,
permet d'obtenir 6 notes au-dessous de celle produite par les lèvres.
Le clairon, précurseur de la trompette,
à un registre plus étendu depuis qu'on lui a ajouté
des pistons et rallongé son tube.
Le cornet à pistons relativement plus facile à jouer était
couramment utilisé aux débuts du jazz.
Le bugle, lui, a son plus velouté et moelleux qui en fait souvent
l'instrument secondaire du trompettiste.
Sourdine : s'oppose à la vibration
des ondes sonores dans les cuivres. Elles accentuent certains harmoniquent
et en atténuent certains. Des effets qui ont trouvés leurs
places dans le jazz.
Sourdine Plunger : donne
une sonorité terreuse, proche de la voix humaines. On la tient
devant le pavillon en variant son degrès de fermeture pour produire
l'effet Wah-Wah.
Sourdine Bol : réduit le volume et le son éclatant
de la trompette en lui donnant une
sonorité plus douce et langoureuse.
Sourdine Velvet : poduit le son le plus velouté et paisible
qu'on puisse obtenir avec une trompette. Cylindrique, elle se fixe sur
le pavillon à l'aide de clips.
Sourdine Harmon : c'est un tube en métal épousant
la forme du pavillon et muni d'un bouchon de liège. Selon qu'elle
est +/- enfoncé, elle émet une sonorité lointaine
et aérienne.

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